2020 JUSTE UNE EMBELLIE

Frances et Madeleine ont aimé le même homme. L’une est la mère de ses enfants, son île. L’autre une militante, passionnée, entière et indépendante. La pièce se passe sur l’ile de Wight en Angleterre.

L’ADN d’une histoire d’amour est-il le même que celui d’une passion ? Peut-on aimer quelqu’un et pourtant le quitter ? Ou l’aimer en acceptant de subir ?

David Hare nous explique ses règles du jeu à travers une confrontation, épidermique et sensible.

Auteur : DAVID HARE « The Breathe of Life » Dramaturge (Laurence Olivier Award) et Scénariste Anglais « The Hours », « The Player » (Ours d’Or meilleur scénario Festival de Berlin).

Mise en scène : Christophe Lidon

Distribution : Corinne Touzet et Raphaeline Goupilleau

Adaptation : Michael Stampe (version française)

Bande annonce, photos et dossier de presse : site du théâtre http://www.lucernaire.fr/theatre/4272-juste-une-embellie.html

https://lebilletdebruno.com/2021/07/08/juste-une-embellie/

Par un temps maussade où le parapluie est de rigueur, nous assistons à un pas de deux à fleuret moucheté, qui dans ses circonvolutions fait danser, au rythme de la sirène du ferry, Madeleine et Frances autour d’un homme à la fois mari et amant.
Madeleine, l’amante, qui ne manquera pas de nous « évoquer » Proust est une militante acharnée dans l’âme, bien loin du train-train quotidien, qui ne s’embarrasse d’un poste de télévision pour rester connectée au monde sur son île de Wight, en Angleterre, son île aux veuves comme elle aime la nommer affectueusement.
Une île sur laquelle on ne vient pas par hasard…
Chercheuse dans un musée, qui aime tracer l’origine des choses, elle affectionne la lecture oui mais pas celle des romans à l’eau de rose comme Frances, écrivaine à succès, peut en remplir son activité quotidienne. Des romans de fiction qui par définition ne sont pas le reflet de la vraie vie, tout ce que déteste Madeleine. Une Frances qui a donné deux enfants au mari volage qui déclenche cette rencontre, ce besoin de compréhension, de vérité.
Un mari, avocat de son état, qui les a délaissées pour la jeunesse en partant s’exiler à Seattle. Une jeunesse qui pour Madeleine n’a pas d’idéal, qui donne dans le pragmatisme et c’est bien triste.
Une rencontre douce amère, sur des airs de Miles Davis, où chacune posera sur la table autour d’un thé, goûté dans un service à l’image de la reine d’Angleterre, ses pensées, ses doutes, son humeur, sa vie.

Une complexité de la vie où chacune aura sa propre vision, le jugement de « l’autre ». Où au détour d’une idée, d’un souvenir, d’un rêve particulièrement savoureux, le sens de l’humour discrètement subversif viendra éclater au visage de celle qui ne s’y attend pas.

Un voyage dans le temps, un jeu de la vérité qui trace sa route sur cette île où on en a vite fait le tour. Des histoires d’Amour, qui finissent toujours mal comme le dit la chanson, qui ont leurs propres ADN, leur ADN : un amour amour…un amour passion…allez savoir.
Chacune, chacun a le droit de refaire sa vie car nous sommes tous égaux devant la mort, l’ultime étape d’une vie riche en rencontres. Ne pas laisser son corps, son cœur se laisser gagner par la froideur mais au contraire vivre !
Corinne Touzet qui porte avec ferveur cette pièce au texte fort, avait envie de jouer avec Raphaëline Goupilleau, son amie de longue date rencontrée sur les plateaux TV.
Ce duo, ce jeu du chat et de la souris, fonctionne à merveille, elles sont complémentaires.
A la lueur de cette embellie, leurs voix et leurs visages illuminent cette scène pour notre plus grand bonheur.
Dans la confrontation de caractères bien trempés, elles apportent à ce texte une lumière exquise, un regard pénétrant sur ce lien qui unit ces deux femmes aux parcours différents mais unies dans un même esprit d’Amour.
Un esprit très bien capté par Christophe Lidon, assisté par Alison Demay, qui dans sa mise en scène vibrante donne avec humour le ton juste à cette rencontre, dans un décor, à l’image de Madeleine, de Sophie Jacob.
Une création du Off, un texte à découvrir sans réserve mis en valeur par deux comédiennes à la sensibilité bienveillante.
Théâtre des Gémeaux, jusqu’au 31 juillet à 12h25.

https://aupassagedesartistes.fr/juste-une-embellie-bouleversantes-confidences-sur-scene/#fwdurpPlayer0?trackid=0

« JUSTE UNE EMBELLIE » BOULEVERSANTES CONFIDENCES SUR SCÈNE

Un moment de grâce absolue, une émotion transcendante au Théâtre des Gémeaux…

Sur l’Île de Wight en Angleterre, Frances et Madeleine, deux âmes engouffrées dans leur vie, deux femmes éraflées par l’amour, l’amour d’un même homme : John !

Des chemins qui se croisent et une rencontre qui bouleversera sans conteste, la suite de leur route; comment parler d’amour lorsque le sujet de la trahison et du mensonges est une autre femme, une autre si différente, si libre, comment faire le deuil d’un passé écaillé par l’existence d’une autre ?

Frances, une femme dévouée, complaisante, lisse, Madeleine est son opposée, elle est révoltée, rebelle et insoumise, elle voulait changer le monde… Une rencontre bouleversante entre deux personnages différents que l’amour a pu réunir une nuit, des histoires qui s’entremêlent entre tendresse et bienveillance, des révélations amères, comment mettre des mots à tant de maux , des confidences affligeantes, et le silence. Deux visions de l’existence, deux choix, deux tempéraments, mais une seule et unique souffrance !

Une histoire de femmes racontée par un homme, David Hare, scénariste et dramaturge hollywoodien, il  nous livre une confession intime, un duel improbable, deux fabuleuses comédiennes, et  un instant figé dans le temps,  que le Théâtre sait rendre MAJESTUEUX…

https://www.theatral-magazine.com/en-direct-davignon-critique-off-juste-une-embellie-duo-de-comediennes-210721.html

Critique Off. Juste une embellie : duo de comédiennes - (21/07/21)

La pièce du dramaturge britannique David Hare est un huis clos psychologique. La visite d’une "ex-épouse à l’ex-maîtresse de son mari" comme le résume très justement l’une des deux femmes. Dans un cottage sur l’Ile de Whight débarque celle qui a été trompée par l’indélicat. Romancière à succès elle pourrait être en recherche de sujet pour l’un de ses livres… Livres pour lesquelles la seconde, militante de la première heure, n’affiche que dédain et mépris. Comme souvent dans son théâtre, David Hare fait se rejoindre au travers d’une langue précise la réalité sociale de ses personnages au cœur de l’intime de leurs vies. Des portraits de femmes en lutte et en complexité de sentiments vis-à-vis d’un homme dont elles sont finalement toutes deux victimes. Christophe Lidon règle ce duo de comédiennes bien équilibré qui s’étoffe au cours de l’intrigue. Raphaëline Goupilleau abandonne vite les tics de comédie pour entrer dans une vraie sincérité, et Corinne Touzet dans un jeu épuré monte à l’assaut de cette recherche de vérité de façon exemplaire. On pouvait craindre une querelle de bonnes femmes, il n’en est rien. Ces deux femmes qui se poussent à bout nous touchent..
François Varlin

https://www.loeildolivier.fr/2021/07/goupilleau-touzet-un-duo-sculpte-magistralement-par-lidon/

Goupilleau-Touzet, un duo sculpté magistralement par Lidon

Publié le

Dans la mise en scène au cordeau de Christophe Lidon, Corinne Touzet et Raphaëline Goupilleau font résonner avec talent les mots de David Hare au Théâtre des Gémeaux. Juste une embellie qui illumine ce festival.

Francès et Madeleine ont deux choses en commun, avoir aimé le même homme et avoir été quittées par lui. La première était l’épouse, la deuxième, la maîtresse. Elles se le sont partagées durant des années. L’une représentait la stabilité, l’autre, la liberté. Deux femmes complémentaires pour un homme complexe. Désirant trouver des réponses aux questions qui la hantent, Francès frappe à la porte de la tanière de Madeleine. En une longue nuit de discussions, mêlées de souvenirs et de réflexions, les deux femmes vont s’affronter, se confronter, puis s’écouter, se comprendre, se libérer.

Des émancipées des années 70

David Hare, adapté finement par Michael Stampe, décortique les sentiments amoureux à travers deux superbes portraits de femmes dans lesquelles nous nous retrouvons toutes. Elles sont du baby-boom, ont eu 20 ans dans les années 1960-1970. Pourtant ces femmes, appartenant à cette époque de l’émancipation et de la libération, se sont retrouvées prises dans les pièges immuables de l’amour. A partir de là, l’auteur britannique explore également notre société et ses contradictions. Les années Flower-Power n’étaient-elles qu’un miroir aux alouettes ? Ont-elles vraiment changé les rapports entre les hommes et les femmes ? Le début de sa pièce ressemble à un babillage, mais en réalité, il met en place les règles de son jeu du chat et de la souris à l’anglaise, nous prend au piège et nous captive.

Un metteur en scène au sommet de son art

Christophe Lidon est un grand metteur en scène, qui ne cesse de nous surprendre et de nous séduire par son travail. Il sait faire sentir toutes les subtilités du texte et même du sous-texte. Il sait aussi, par sa scénographie, suggérer l’atmosphère d’une œuvre. Dépassant la notion de décor, celui-ci s’intègre dans le spectacle, dans les sentiments qui s’en dégagent. Rien n’est jamais gratuit dans son travail, tout est au service du texte et des personnages. Il est un grand directeur d’acteurs. Il sait les magnifier, trouver en eux la quintessence.

Deux comédiennes extraordinaires

Pour incarner ces deux magnifiques personnages de femmes, il fallait des comédiennes de caractère, douées pour faire entendre les diverses notes des émotions des personnages. Raphaëline Goupilleau est de l’engeance des monstres sacrés, comme une Hiegel, une Lebrun. De cette voix, de cette intonation qui ne sont propres qu’à elle, possédant un sens aigu des ruptures, elle nous enchante à chacune de ses prestations. Elle est parfaite dans le rôle de Madeleine. Cette femme libre que l’on croyait forte, et qui s’avère être beaucoup plus fragile que cela. Corinne Touzet est formidable dans le rôle de la femme bafouée. Dans un jeu sensible et vibrant, elle donne une belle couleur à Francès. Cette femme, épouse modèle, que tous croyaient délicate et qui en réalité, a la force d’une lionne. Dans une belle unité de jeu, elles joutent avec brio, nous donnant un beau moment de théâtre et d’émotions.

LE FIGARO – Les coups de cœur de nos envoyés speciaux.

Voilà, dans le bon sens du terme, une pièce traditionnelle. L'histoire de deux femmes qui ont été amoureuses d'un même homme, un certain John. Il y a Madeleine la libertaire (Raphaëline Goupilleau). Elle habite sur l'île de Wight et reçoit la visite de Frances (Corinne Touzet), la mère des enfants de John, une romancière qui a le projet d'écrire le récit de leur histoire à trois. Madeleine s'en méfie : les écrivains pillent la vie des autres. Peu dire que leurs confessions ne débutent pas sous les meilleurs auspices. Quand tombe la nuit, les deux femmes s'apprivoisent, se livrent. Où l'on comprend que John a aimé Madeleine car elle était héroïque, insaisissable, et qu'il a aimé Frances, femme au foyer, car elle était rassurante. Les deux actrices, servies par des dialogues d'une redoutable justesse - on connaît le talent de David Hare - se renvoient la balle, pardon, se renvoient "leur vision" de John. Subtil et percutant."

Le Figaro

https://c.ledauphine.com/LE DAUPHINE LIBERE

Par Jean-Dominique RÉGA - 11 juil. 2021 à 15:25 | mis à jour le 11 juil. 2021 à 15:33

“Juste une embellie” : deux femmes pour un homme...

Cette pièce écrite par David Hare, dramaturge et scénariste anglais oscarisé, mise en scène par Christophe Lidon, est une création présentée pour la première fois à Avignon.

C’est l’histoire de deux femmes qui ont aimé la même personne. Un homme qui les a quittées pour partir ailleurs. Frances (Corinne Touzet) l’épouse docile et mère de famille trompée a besoin de rencontrer l’autre, Madeleine la maîtresse (Raphaëline Goupilleau), une femme indépendante qui s’est installée sur l’île de Wight où le temps passe moins vite qu’ailleurs.

Au cours d’une confrontation épidermique et sensible où elles renversent les stéréotypes, elles vont se jauger.

Petit à petit, ces femmes que tout oppose et qui devraient se détester, se jalouser, vont se faire des confidences et s’apercevoir que l’homme était complètement différent avec l’une et l’autre. Il avait besoin des deux…

Lorsqu’elles vont se séparer, ces deux femmes ne seront plus les mêmes. Dans cette pièce qui a sa dose d’humour, les deux comédiennes sont de remarquables interprètes.

Au Théâtre des Gémeaux, 10 rue du Vieux-Sextier, à 12h20. Durée : 1h25. Jusqu’au 31 juillet. Tarif : de 16 à 23 €. Tél. 09 87 78 05 58.

Juste une embellie

Posted On 22 juillet 2021

https://leschroniquesdemonsieurn.com/

« Juste Une Embellie » au Théâtre Des Gémeaux

Bonjour à tous !

Aujourd’hui nous retournons au Théâtre Des Gémeaux; pour vous faire découvrir Juste Une Embellie. Il s’agit d’une pièce de David Hare; mise en scène par Christophe Lidon etinterprétée par CorinneTouzet et Raphaëline Goupilleau.

L’Histoire : Madeleine (Raphaëline Goupilleau) vit seule dans une maison au fin fond de l’île de Wight. Un jour, elle reçoit la visite de Frances (Corinne Touzet), romancière célèbre; qui souhaite écrire un roman sur un sujet assez particulier : leur histoire avec l’homme qui a partagé leur vie à toutes les deux. La première a partagé ses idées, ses combats et ses convictions avec lui; la seconde l’a épousé et lui a donné des enfants. Elles ne s’étaient jamais rencontrées; et le temps d’une nuit, elles vont s’affronter, se dévoiler leurs vérités; et voir que leur place dans la vie de cet homme et leur vie avec lui n’a pas été si différente pour l’une comme pour l’autre…

Mon Avis : Juste Une Embellie est un véritable instant de douceur théâtrale. L’écriture de David Hare est douce dans les mots tout en restant fort dans les intentions, pour décrire le face à face entre ces deux femmes dans cette ambiance douce et apaisée de l’île de Wight. La mise en scène de Christophe Lidon est d’une véritable beauté, un subtil mélange de force et d’émotion; par le jeu des comédiennes, mais aussi par le décor signé Sophie Jacob et les lumières de Denis Schlepp; cela donne la sensation d’être, comme Frances et Madeleine, sur l’île de Wight.

Et on ne peut qu’apprécier et applaudir le talent, la force d’émotion et d’humour qui se dégage des ces deux admirables comédiennes que sont Corinne Touzet et Raphaëline Goupilleauqui nous offrent un magnifique face à face, rempli de tendresse et d’intensité. Elles offrent tout leur talent à ces femmes qui, au début concurrentes, se retrouveront finalement côte à côte et main dans la main face à la vie qu’elles ont chacune eu  avec cet homme

Un duo absolument sublime nous offre une très belle histoire de vie et d’amour. Avec la grisaille qui entoure nos vies depuis quelques années, venez faire un tour du côté du théâtre des Gémeaux et très prochainement à Paris; juste le temps d’une Embellie…

« Juste Une Embellie » de David Hare; Mise En Scène de Christophe Lidon, avec Corinne Touzet et Raphaëline Goupilleau. Au Théâtre des Gemeaux d’Avignon jusqu’au 30 Juillet à 12h25; et au Théâtre Le Lucernaire à Paris du 25 Août au 17 Octobre à 19h.

ART SCÈNE RADIO .... THÉÂTRE

« JUSTE UNE EMBELLIE » BOULEVERSANTES CONFIDENCES SUR SCÈNE

17 JUILLET 2021

Un moment de grâce absolue, une émotion transcendante au Théâtre des Gémeaux…

Sur l’Île de Wight en Angleterre, Frances et Madeleine, deux âmes engouffrées dans leur vie, deux femmes éraflées par l’amour, l’amour d’un même homme : John !

Des chemins qui se croisent et une rencontre qui bouleversera sans conteste, la suite de leur route; comment parler d’amour lorsque le sujet de la trahison et du mensonges est une autre femme, une autre si différente, si libre, comment faire le deuil d’un passé écaillé par l’existence d’une autre ?

Frances, une femme dévouée, complaisante, lisse, Madeleine est son opposée, elle est révoltée, rebelle et insoumise, elle voulait changer le monde… Une rencontre bouleversante entre deux personnages différents que l’amour a pu réunir une nuit, des histoires qui s’entremêlent entre tendresse et bienveillance, des révélations amères, comment mettre des mots à tant de maux , des confidences affligeantes, et le silence. Deux visions de l’existence, deux choix, deux tempéraments, mais une seule et unique souffrance !

Une histoire de femmes racontée par un homme, David Hare, scénariste et dramaturge hollywoodien, il  nous livre une confession intime, un duel improbable, deux fabuleuses comédiennes, et  un instant figé dans le temps,  que le Théâtre sait rendre MAJESTUEUX…

 « Juste une embellie »

Au Théâtre des Gémeaux

https://avignonalunisson.com/

Festival Off 2021

Juste une embellie

Posted On 22 juillet 2021

Pitch :

Frances et Madeleine ont aimé le même homme. L’une est la mère de ses enfants, son ancre…
L’autre une militante, passionnée et indépendante.
Sont-elles si différentes ?
La pièce se passe sur l’île de Wight en Angleterre.
L’ADN d’une histoire d’amour est-il le même que celui d’une passion ?
Peut-on aimer quelqu’un et pourtant le quitter ?
Ou l’aimer en acceptant de subir ?
David Hare, scénariste Hollywoodien oscarisé (The Hours, The Reader), et grand dramaturge britannique, nous explique ses règles du jeu à travers une confrontation, épidermique et sensible.

Frances et Madeleine, deux femmes qui, comme les plaques tectoniques, ne devaient jamais se rencontrer, ont aimé le même homme. A travers leurs confessions d’une nuit, elles vont redéfinir leurs places dans cette histoire partagée, renverser les codes du rapport épouse-maîtresse et réinventer de nouvelles perspectives en se livrant à un jeu de chat et de souris dont il faudra bien composer les règles, au rythme des secrets dévoilés et des morceaux de vie brutalement mis au jour.
Chaque histoire n’a-t-elle pas son unique identité ? Pourtant, les liens que ces deux femmes tentent de démêler nous semblent à la fois personnels et très intimes, déroulant devant nos yeux des pans entiers de notre sensibilité collective.
Les années Flower Power ont-elles vraiment révolutionné nos relations homme-femme ? La place de la femme évolue-t-elle aussi rapidement que les hommes veulent le croire ?
Les rapports homme-femme décortiqués par David Hare deviennent le reflet d’une société qui ne cesse de muter.

Avis de la rédaction :

On retrouve une Corinne Touzet au sommet de son art .Depuis maintenant, deux festivals elle nous revient en autoproduction et elle irradie sur scène et en dehors!

Pour cette adaptation du livre de David Hare, Corinne Touzet s’est entourée de la sublissime Raphaëline Goupilleau.

Elles forment toutes les deux un duo au sommet de son art. Elles portent, elles vivent et nous emmènent avec elles dans ce huis clos entre deux ex femmes, ex rivale qui se retrouvent pour répondre mutuellement aux questions de l’autre.

La mise en scène est ciselé à la perfection, le décor es minimaliste mais pourtant au final, il s’avère extrêmement efficace pour jouer les différentes parties de la maison.

On assiste à une très belle représentation de deux aux talents monstre. BRAVO MESDAMES!!

Radios

https://www.francebleu.fr/emissions/dans-le-retro/dans-le-retro-corinne-touzet

https://www.francebleu.fr/emissions/tous-en-scene-le-mag/juste-une-embellie-de-david-hare-une-rencontre-pleine-d-humour-d-amour-et-de-passion

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-monde-d-elodie/juste-une-embellie-corinne-touzet-decortique-le-sentiment-amoureux-au-festival-davignon_4666757.html